Pour y participer, envoyez:
- CV du groupe,
- Le programme proposé,
- Enregistrement audio si possible
- Numéro de téléphone du responsable du groupe
Le dernier délai d'inscription est le 4 décembre 2007.
Infoline: 23296814 - 98296814
Karim BENAMOR est un journaliste, producteur et animateur radio et TV en Tunisie. Il est actuellement gérant de Alternative Production Communication Conseil, après avoir exercé sur plusieurs chaines de TV (Canal+ Horizons, Tunis 7 et Canal 21) et radios (Express FM, Canal 9 à Paris et Radio Tunis Chaîne Internationale). Cette page lui permet de communiquer sur les actualités qu'il estime intéressantes.
« Cantates des Rives », est un projet de résidence de création musicale itinérante qui regroupe quatre partenaires issus du pourtour méditerranéen, dans un voyage musical qui part de Marseille pour Agadir, puis Thessalonique pour aboutir à Sidi Bou Saïd.
Soutenu par un financement européen attribué par
Chaque partenaire, selon un choix qui lui est propre, était appelé à proposer un artiste musicien, véritable ambassadeur du partenaire qu’il représente, possédant autant de capacité créatrice, de volonté d’échange que de vocation pédagogique à la transmission de son art.
Le partenaire français,
Depuis le lancement du projet en Février 2007, les artistes représentant les quatre partenaires se sont réunis lors d’une résidence de création à Marseille (du 5 au 21 mars), puis à Agadir – Maroc (du 17 au 21 juin) puis à Thessalonique –Grèce (du 21au 26 Novembre et finalement à Sidi Bou Saïd du 27 novembre au 1er décembre prochain ; Chacune des résidences est couronnée d’un concert public. La résidence tunisienne s’enrichira de la participation d’un cinquième artiste, en la personne de la chanteuse Zohra Lajnef, qui s’est spécialisée dans l’interprétation du répertoire populaire du Sud tunisien et particulièrement de la région de Gafsa.
Programme :
• Jeudi 29 et Vendredi 30 à partir de 14H00
Séances pédagogiques et master classes destinés aux élèves des écoles de musique, musiciens amateurs ou professionnels, professeurs de musique, public mélomane (inscription par téléphone au 71 740 102- 71 746 051)
• Samedi 1er décembre à 19H30
Concert public (billets au guichet du CMAM à Sidi Bou Saïd)
Tous à vos kiosques à journaux, dans le dernier numéro de l’hebdomadaire L’EXPRESSION (n°6 du 23 au 29 novembre 2007, 2 dinars), vous trouverez en pages 40 et 41 un très beau portrait écrit par Marianne Catzaras consacré à ADEL MOTHERE, notre collègue animateur à RTCI.
Ya Adel ! Sacré veinard va !
Si comme moi l'histoire de
N'ayant pas encore lu le livre (que j'achèterai à mon prochain passage en librairie), je me contenterai donc du communiqué de presse.
"Histoire des derniers rois de Tunis XVIe s." est un reportage de guerre avant l'heure décrit par Luys del Marmòl y Carvajal, soldat, voyageur et historien et par Jan Cornelisz Vermeyen, peintre flamand. Ce livre est présenté par Jean-Pierre Vittu agrégé d'Histoire, Docteur d'État ès Lettres, Professeur d'Histoire moderne à l'Université d'Orléans.
Au XVIe siècle en Méditerranée s’affrontent deux puissances : l’empire chrétien et l’empire ottoman. Le Maghreb est au centre des conflits. Pour la première fois par un montage en parallèle de deux témoignages directs, les peintures de Vermeyen et le récit de Marmòl, cet ouvrage relate ces évènements. Le lecteur découvrira ainsi tout un pan d’histoire par ces deux “reporters de guerre”.
Au fil des “Prises de vues“ se dévoileront les paysages de Tunis au seizième siècle, et maints détails comme les vêtements et les armes, et dans la « Galerie de tableaux » seront révélés les portraits retrouvés des derniers hafsides et leur influence dans la peinture flamande.
L’ouvrage se compose de deux parties :
Une enquête sur l’ensemble des œuvres picturales d’après l’expédition de Charles Quint à Tunis en 1535. Charles Quint avait dans sa suite Jan Cornelisz Vermeyen, peintre, dessinateur, ingénieur et orfèvre (né à Beverwijk, près d'Haarlem, v. 1500, mort à Bruxelles 1559), qui a reproduit avec précision les détails de cet expédition : paysages de Carthage,
Sur commande de Marie de Hongrie, sœur de Charles Quint, Vermeyen exécuta d’abord une série de tableaux (six restants sur les douze originaux) (Kunstsammlungen der Veste Coburg, Allemagne). Douze cartons originaux représentant les mêmes scènes (env. 8 m/5m, Kunsthistorisches Museum Wien), d’après lesquels furent exécutées les fameuses tapisseries (Musée Royal de Madrid) que Guillaume Pannemaker tissa dans son atelier bruxellois (soie, fils d’or et d’argent), de 1548 à 1554. Des copies réalisées au XVIIIe s. se trouvent au Museum Wien et à l’Alcazar de Séville. Ces œuvres de Vermeyen vont influencer la peinture flamande dans la mode des paysages de ruines et des représentations orientalisantes, en vogue à l’époque de
L’ouvrage prend en considération cet aspect avec des reproductions de ces œuvres. Ainsi une imagerie diverse forme l’ensemble des illustrations sur le Tunis des XVIe et XVIIe s. : des plans, des pièces d’orfèvrerie et une série de 7 gravures d’après Vermeyen de Frans Hogenberg (1570) (B.N.F., cabinet des Estampes), qui furent reproduites ou copiées de multiples fois.
On découvrira les portraits des derniers rois hafsides, Mulay Hassan et son fils Mulay Ahmed, d’après un tableau aujourd’hui perdu de Vermeyen, copié à l’identique par Rubens, figurant en mage Balthazar dans les tableaux ayant
Dans une seconde partie, un texte relatant la fameuse expédition : L'Afrique de Màrmol, de la traduction de Nicolas Perrot sieur d'Ablancourt, A Paris: Chez Thomas Iolly, 1667. (Livre 6). (Traduction qui n’a jamais été republiée sauf nombreuses citations et références par des historiens). Luis del Mármol Carvajal, écrivain espagnol du XVIe s., qui relate en détail l’expédition de Charles-Quint à Tunis en 1535, à laquelle il avait participé.
L’ouvrage en parallèle texte et illustrations qui se répondent et se complètent avec une étonnante exactitude de lieux et de temps. De Tunis à Sousse, de Mahdia à Jerba, dans le fracas de ces batailles, les paysages apparaîtront bien différents !
"Histoire des derniers rois de Tunis XVIe s."
Ed. cartaginoiseries
Format : 23x21. Reliure broché. Illustré quadri. 168 p.
ISBN 978-9973-704-05-4 (3e trimestre 2007).
Prix de vente : 30dt. 30€
Importante iconographie sur la peinture du XVIe s.
Livre disponible chez l'éditrice (envoi par poste, port compris).
Mika ben Miled
2 rue Sophonisbe 2016 Carthage Tunisie
(+216) 71 732 594 (répondeur)
e-mail :mikabenmiled[at]gnet[point]tn
Je suis allé voir vendredi soir le film «
Ce soir, c’est l’occasion de trop. Révolté, Stouffa quitte le domicile familial pour rejoindre sa bande de copains et traîner avec eux dans les rues de Tunis.
La soirée ne commence pas très bien, ils vont de galère en galère et finissent par se saoûler à la bière bon marché.C’est alors qu’ils croisent Saloua, une jeune fille de leur quartier qui arrondit ses fins de mois en monnayant ses faveurs.
Je dois dire que jusqu’à ce moment la du film, tous les ingrédients étaient présents pour que nous ayons un film hors du commun dans la cinématographie tunisienne : descente aux enfers des deux principaux personnages aveuglés par leur soif de vengeance, exploration du monde de la nuit avec tout ce qu’il comporte de déchéance, de règles, de non droit, de coups bas, de violence, de lâcheté, avec pour pimenter le tout sexe, alcool, drogue, mots crus…
Je m’attendais à Crank, à un Baise Moi, à un Thelma et Louise, à un Pulp Fiction, je suis malheureusement resté sur ma faim. Je ne dis pas que ce film est mauvais, loin de la, et les prix qu’il a glané dans de nombreux festivals sont la pour l’attester. Mention au passage à Anissa Daoud, pas facile de camper un rôle pareil, chapeau pour le courage.
Je dis juste que ce film aurait pu être un chef d’œuvre si le réalisateur avait osé aller jusqu’au bout de son intention première, sans se brider ! Les héros étaient ils un peu trop tendres à mon gouts ? Ca doit être ça.
Liens:
Ceux qui s’intéressent un tant soit peu aux choses du football savent que l’équipe nationale tunisienne disputera
Située dans la partie septentrionale du Ghana à
Pour la météo, le médecin de l'équipe nationale du Sénégal a expliqué lundi au cours de l'émission ‘'i foot, i sports'' de
Les présentations faites, on sait que Tamale a un gros problème : elle n’est pas encore prête !
Le problème ne vient pas du stade flambant neuf qui selon Henri Kasperczak "est aux normes mondiales". Le hic vient des terrains d’entrainements et des structures hôtelières encore en chantiers.
L'envoyé spécial de l'Agence de presse sénégalaise a constaté que les journalistes devant faire le déplacement de Tamale pour la couverture des matchs vont droit vers des difficultés avec le manque d'hôtels et les difficultés de connexion sur Internet. Il relate que sur les trois hôtels visités par la délégation sénégalaise, les deux premiers - Mariama et Gariba - sont déjà réservés respectivement par
L'autre difficulté se trouvera dans la quête de connexion Internet. Si les cybercafés sont localisés le long de la voie principale de la ville, ils sont connectés à travers le réseau Africa Online, un réseau satellite à 256 kbit/s, connecté à un serveur proxy pour surfer sur le web. Tout le trafic TCP/IP est directement canalisé à travers une ligne à 64 kbit/s vers la capitale Accra. Si le surf est parfaitement utilisable à Tamale, mais toutes les autres applications d'internet éprouvent des pertes de paquets de données "packet loss" et des problèmes intermittents. Ainsi, deux reporters sénégalais voulant envoyer des papiers ont dû se rabattre sur le 'business center' de l'hôtel Gariba équipe de deux vieux ordinateurs avec un temps de connexion à Internet extrêmement lent. Les journalistes ont donc intérêt à squatter la salle de presse aménagée dans le stade de Tamale avec des terminaux à ordinateurs.
Tamale a des problèmes, c’est clair, mais doit-on pour autant lui retirer l’organisation des matchs ? Je pense que c’est impossible du fait des gros investissements réalisés non seulement par les autorités ghanéennes par la construction du nouveau stade, mais aussi par les hôteliers et autres opérateurs économiques. Et ça serait aussi renier le principe même de
Quelques liens :
Photos du stade :
* http://www.ghanaweb.biz/GHP/img/pics/news/17036023.optim.jpg
* http://www.ghanaweb.biz/GHP/img/pics/news/98976440.optim.jpg
* http://www.ghanaweb.biz/GHP/img/pics/news/20340778.optim.jpg
Carte du Ghana : http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/9e/Ghana_carte.png/290px-Ghana_carte.png
Sources :
* http://fr.wikipedia.org/wiki/Tamale
* http://fr.wikipedia.org/wiki/Dagomba
* http://www.xalima.com/TAMALE-UNE-TERRE-D-ISLAM-VA?debut_articles=70
* http://www.aps.sn/articles.php?id_article=37033
Vu sur le site de la cité des sciences de Tunis, une Nouvelle soirée astronomique, le samedi 17 novembre 2007 à partir de 21 heures, en accès libre et gratuit dont voici le communiqué (Lien : http://www.cst.rnu.tn/index1.htm) :
Un autre rendez-vous nous sera donné avec l'espace et le cosmos le samedi 17 novembre 2007 à partir de 2 1 heures à
Si on va plus loin, les seuls pays qui devraient organiser des tournois de Tennis devraient être ceux dont les représentants font partie du TOP 10. Pourquoi pas remplacer Wimbledon par le tournoi de Bâle, l’Open d’Australie par le Masters de Madrid ou de Barcelone, et Rolland Garros par un tournoi à Buenos Aires ? A quoi servent aussi les tournois de Doha, Dubaï, Chennai, Vina Del Mar, Beijing, Umag, Casablanca… Soyons sérieux !
On n’a pas de tennisman représentatifs ? Comment est-il possible qu’un Heytham Abid batte un Christophe Roccus et qu’un Malek Jaziri sorte des qualifications lors du dernier Tunis Open ? Quelles sont les retombées médiatiques et sportives de telles victoires sur le tennis tunisien ? Combien de jeunes savent depuis que battre un top 200 est quelque chose de possible ? Combien de jeunes ont décidés de se mettre au Tennis depuis ? Autant de questions dont les fruits pour le tennis tunisien et le prestige de