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jeudi 23 juin 2022

L’Afrique a réalisé d’importants progrès sur la transparence fiscale et la lutte contre les flux financiers illicites en 2021

 ABIDJAN, Côte d'Ivoire, 21 juin 2022/ -- Les demandes d’information des pays africains à des fins de recouvrement d’impôts ont augmenté de 26 % en 2021 par rapport à l’année précédente, ce qui témoigne de progrès continus sur la voie de la transparence fiscale en dépit d’un environnement difficile, selon un rapport de l’Initiative Afrique (https://bit.ly/3xHMd7h) , lancé mardi à Nairobi.



Le rapport « Transparence fiscale en Afrique 2022 » (https://bit.ly/3zXnfUd), qui couvre 38 pays, documente les progrès réalisés par les pays africains dans la lutte contre l’évasion fiscale et d’autres flux financiers illicites grâce à la transparence et à l’échange d’informations à des fins fiscales.

L’Initiative Afrique est un partenariat entre le Forum mondial sur la transparence et l’échange d’informations à des fins fiscales (le Forum mondial) (https://bit.ly/3HCCjIB), qui réunit 33 pays africains et 16 partenaires, dont la Banque africaine de développement, la Commission de l’Union africaine, l’Union européenne et les gouvernements de la Suisse et du Royaume-Uni. Cinq pays non membres ont participé à l’étude réalisée dans le cadre du rapport.

« Je tiens à féliciter les membres de l’Initiative Afrique pour leur engagement et leur résilience dans la mise en œuvre des normes de transparence fiscale pendant les moments difficiles causés par la pandémie de Covid-19 », a déclaré Githii Mburu, commissaire général de l’Autorité fiscale du Kenya (Kenya Revenue Authority) et président de l’Initiative Afrique, lors du lancement du rapport.

Quelques-unes des principales conclusions du rapport 2022 :

  • Les pays africains ont eu 4135 échanges bilatéraux d’informations en 2021, contre 913 en 2014.
  • Quinze pays ont envoyé des demandes d’informations fiscales en 2021, contre six en 2014.
  • Neuf pays africains ont déclaré avoir collectivement recouvré 233 millions d’euros depuis 2014 grâce aux demandes d’échange d’informations. Depuis 2009, au moins 1,2 milliard d’euros de recettes supplémentaires ont été identifiés sur le continent grâce aux programmes de divulgation volontaire, à l’échange d’informations et aux enquêtes extraterritoriales.
  • En 2021, 1500 agents de l’administration fiscale en Afrique ont reçu une formation sur l’utilisation des instruments d’échange d’informations.

Zayda Manatta, responsable du secrétariat du Forum mondial, a analysé les conclusions du rapport. Et selon elle, les pays africains continuaient de subir des pertes importantes dues aux flux financiers illicites, dont le montant est estimé entre 50 et 80 milliards de dollars chaque année. La pandémie de Covid-19 a complexifié la réalisation par l’Afrique des Objectifs de développement durable des Nations unies. « La pandémie de Covid-19 a plongé 29 millions de personnes supplémentaires dans l’extrême pauvreté, donc une réduction significative des flux financiers illicites permettrait de débloquer des ressources dont l’Afrique a grandement besoin », a-t-elle souligné.  

Bien que les conclusions du rapport soient positives, les pays africains devraient accroître leur utilisation des outils de transparence fiscale, a indiqué Mme Manatta. Par exemple, bien que 15 pays aient envoyé des demandes d’informations fiscales en 2021, 92 % de ces demandes émanaient de quatre pays (Kenya, Tunisie, Algérie et Nigeria).

Elle a exhorté les pays africains à recourir davantage aux demandes d’informations. Elle a également insisté sur la nécessité de mettre en place un système d’échange automatique d’informations. « Des efforts supplémentaires doivent être déployés en Afrique pour accroître la participation des femmes aux activités de renforcement des capacités », a-t-elle indiqué, soulignant que, dans le monde, 50 % en moyenne des participants aux formations de renforcement des capacités sont des femmes, contre 40 % en Afrique.  

La Banque africaine de développement, observatrice au Forum mondial depuis 2014, encourage la transparence fiscale en Afrique en soutenant les institutions et les acteurs non étatiques dans ses pays membres régionaux et en renforçant la coopération internationale pour éliminer les flux financiers illicites.

Pour télécharger le rapport, cliquez ici (https://bit.ly/3xGeNWs).

Africa50, la Banque africaine de développement et le nouveau Forum africain des investisseurs souverains veulent mobiliser ensemble des capitaux dans des projets d’infrastructure

 CASABLANCA, Maroc, 23 juin 2022/ -- La Banque africaine de développement, Africa50 et le Forum africain des investisseurs souverains (ASIF) ont signé, le 20 juin 2022 à Rabat, au Maroc, une lettre d’intention à travers laquelle ils expriment leur volonté de développer ensemble des projets d’infrastructures vertes et résilientes au changement climatique dans toute l’Afrique. Les trois entités travailleront de commun accord pour stimuler le financement et le développement des compétences et de l’expertise dans le secteur des infrastructures.

La cérémonie de signature a eu lieu lors du lancement du Forum africain des investisseurs souverains. Dix investisseurs souverains africains ont décidé de créer le Forum. La nouvelle plateforme permettra d’accélérer la coordination afin de mobiliser des capitaux patients (liés aux investissements philanthropiques et la création de valeur) pour le développement du continent.


Parmi les signataires figurent : Agaciro Development Fund du Rwanda (www.Agaciro.rw), le Fonds souverain de Djibouti, le Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS) (https://FGIS-gabon.com/fr/), le Fonds souverain d’investissements stratégiques du Sénégal (FONSIS) (www.FONSIS.org/fr), Fundo Soberano de Angola (FSDEA), Ghana Infrastructure Investment Fund (GIIF) (https://GIIF.gov.gh/), Ithmar Capital (https://bit.ly/3ndo6s0)  (Maroc), Nigeria Sovereign Investment Authority (NSIA) (https://NSIA.com.ng/)  et The Sovereign Fund of Egypt (TSFE) (https://TSFE.com/). 

Le directeur général d’Africa50, Alain Ebobissé, et le vice-président de la Banque africaine de développement chargé du Secteur privé, de l’Infrastructure et de l’Industrialisation, Solomon Quaynor ont chacun, signé au nom de leurs institutions respectives. Le directeur général  d’Ithmar Capital, Obaid Amrane, qui sera le premier président de l’ASIF, a signé au nom de la nouvelle initiative.

« Il s’agit d’une étape importante dans la mise en place d’une collaboration solide entre les partenaires adéquats pour répondre aux besoins substantiels de l’Afrique en matière de financement des infrastructures », a déclaré M. Ebobissé. « Nous devons rendre les principaux projets d’infrastructure régionaux attrayants et bancables pour les investisseurs privés tant mondiaux qu’africains et les accords signés aujourd’hui contribueront grandement à combler le déficit d’infrastructures du continent. Il est donc important que nous tirions parti de la force des fonds souverains africains sur le continent, qui gèrent une épargne nationale importante, pour stimuler la croissance des économies africaines par le développement et la mise en œuvre réussie d’infrastructures stratégiques », a-t-il ajouté. 

Selon M. Quaynor, « le partenariat de la Banque africaine de développement avec l’ASIF et Africa50 permettra de renforcer la collaboration en matière de développement et de cofinancement de projets, de mobilisation de capitaux pour financer des infrastructures résilientes, vertes et durables et d’identification d’opportunités d’investissement pour promouvoir les infrastructures et l’industrialisation de l’Afrique. »

« Il s’agit d’un élément clé de la stratégie de la Banque visant à exploiter les quelque deux billions de dollars d’actifs gérés par les investisseurs institutionnels africains, notamment les fonds souverains, les fonds de pension et les compagnies d’assurance, pour les infrastructures et l’industrialisation du continent », a-t-il poursuivi.

Selon M. Amrane, « l’objectif principal de l’ASIF est d’accélérer le développement d’opportunités d’investissement et de mobiliser des capitaux patients. En qualité d’investisseurs souverains, nous constatons de fortes complémentarités avec la Banque africaine de développement et Africa50, en particulier le fait que nos visions sont alignées en ce qui concerne la préparation de projets et la mobilisation de capitaux. Nous sommes heureux aujourd’hui de formaliser le désir mutuel de collaboration de l’ASIF, de la Banque africaine de développement et d’Africa50, car nous avons un objectif commun qui est de favoriser l’investissement dans des projets résilients au changement climatique, entre autres, conformément à nos mandats respectifs. »

L’accord de collaboration portera également sur l’identification et la préparation des projets, un facteur essentiel de réussite pour attirer des financements dans tout projet.

la Banque africaine de développement débloque plus de 39 millions d’euros pour désenclaver la zone industrielle et portuaire de Kribi

 ABIDJAN, Côte d'Ivoire, 23 juin 2022/ -- Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (www.AfDB.org) a approuvé, mercredi 22 juin à Abidjan, un prêt de 39,62 millions d’euros en faveur du Cameroun, pour désenclaver la zone industrielle et portuaire de Kribi, au sud du pays.

Destiné à l’exécution de la deuxième phase du Projet d’aménagement des routes de désenclavement de la zone industrielle et portuaire de Kribi, ce nouveau prêt vient compléter celui de 114,33 millions d’euros, qui avait été octroyé en octobre 2021 pour la mise en œuvre de la première phase.



Pour faire face à l’engorgement du port de Douala, qui ne permet pas l’accostage de navires à trop grand tirant d'eau, le gouvernement camerounais a construit, près de la ville côtière de Kribi, un port en eau profonde adossé à une zone industrielle et une ville nouvelle, baptisé « Complexe industriel et portuaire de Kribi ». Un important complexe s’est ainsi développé sur le site, sans contraintes de profondeur d’eau, de surface ni de tracé, avec des équipements de dernière génération et de grandes aires de stockage et de travail.

Cependant, les voies d’accès au site se sont fortement dégradées au fil du temps, malmenées par l’augmentation du trafic de poids lourds que l’essor des activités sur site a générée.

La deuxième phase du projet va donc permettre de boucler le financement en vue de réhabiliter le tronçon de route Edea-Kribi, long de 110 kilomètres, et d’aménager 39 autres kilomètres de route entre la localité de Lolabé à Campo, et jusqu’au pont sur le fleuve Ntem, à la frontière de la Guinée équatoriale.

 Grâce à ces futures liaisons routières, le Complexe industriel et portuaire de Kribi sera plus accessible et mieux connecté, et les temps et coûts de transport au niveau national et régional seront amoindris. Partant, les femmes et des hommes résidant dans les alentours verront leurs conditions de vie gagner en qualité. Désenclaver ainsi la zone portuaire permettra d’assurer la liaison entre les bassins de production, de transformation et de consommation, facilitant l’acheminement des matières premières et autres marchandises en transit de et vers les pays de la sous-région : Cameroun, Gabon, Guinée équatoriale, République centrafricaine, République du Congo et Tchad.

Le projet tient compte, dans le déploiement des activités socio-économiques sur site, des enjeux de genre et d’emploi des jeunes, de sorte que toutes et tous puissent profiter équitablement de ses retombées et d’en amplifier l’impact socio-économique.

 « Ce prêt supplémentaire après celle d’octobre 2021 pour le désenclavement du Complexe industrialo-portuaire de Kribi, dont la vocation est de devenir le plus important pôle économique du Cameroun et de l’Afrique centrale, renforce l’engagement de la Banque en faveur des projets intégrateurs qui ont pour finalité de renforcer la complémentarité régionale des systèmes de production, de développer les infrastructures et de stimuler les échanges intrarégionaux », se réjouit Solomone Koné, directeur général adjoint du Groupe de la Banque africaine de développement pour la région Afrique centrale. « Ce financement vient en outre renforcer notre leadership dans le secteur des infrastructures au Cameroun et en Afrique centrale de façon générale, où la Banque intervient essentiellement dans le sous-secteur routier, notamment par la contribution au financement des programmes et projets d’aménagement et de réhabilitation du réseau routier ainsi que des études stratégiques et techniques », a-t-il ajouté.

Depuis 1972, année du début de ses opérations au Cameroun, le Groupe de la Banque africaine de développement a contribué à financer 28 opérations dans le secteur des transports y compris les transnationaux.

Le Forum mondial de l’économie circulaire 2022 se tient en décembre prochain au Rwanda et pour la première fois en Afrique

 ABIDJAN, Côte d'Ivoire, 23 juin 2022/ -- Le Forum mondial de l’économie circulaire 2022 (https://bit.ly/3xOq86X) se tiendra du 6 au 8 décembre, pour la première fois, en terre africaine à Kigali, au Rwanda. Il réunira des participants du monde entier venus s’imprégner des enseignements du continent et de l’ensemble des pays du Sud, en vue de construire une économie mondiale plus résiliente et plus verte.




Le Forum mondial de l’économie circulaire 2022 (FMEC2022) présentera quelques-unes des meilleures solutions d’économie circulaire au monde. Il offrira l’occasion aux entreprises d’Afrique et d’ailleurs de saisir de nouvelles opportunités et acquérir un avantage concurrentiel dans la transition vers des économies à faible émission de carbone et résilientes au changement climatique. Des dirigeants d’entreprise, des décideurs et des experts du monde entier sont attendus. Le premier forum s’est tenu en 2017.  

Placé sous le thème « De l’Afrique vers le monde », l’événement se déroulera dans un format hybride et les travaux retransmis en direct sur des écrans géants situés dans plusieurs villes africaines, afin de susciter un large intérêt pour le forum. Ce format permettra aux participants de prendre part, à distance, aux discussions sur les modèles et exemples locaux d’économie circulaire.

« Doté de la population la plus jeune du monde, le continent africain peut jouer un rôle crucial dans la transition mondiale vers la circularité. Le Rwanda est fier d’accueillir le Forum mondial de l’économie circulaire 2022, démontrant ainsi le leadership et l’engagement de l’Afrique sur ce plan », a déclaré la ministre de l’Environnement du Rwanda, Jeanne d’Arc Mujawamariya.

Le Rwanda est un membre fondateur de l’Alliance africaine pour l’économie circulaire et en assure la coprésidence. Le gouvernement rwandais, l’Alliance africaine pour l’économie circulaire (ACEA) (https://bit.ly/3NgnfRS) , le Réseau africain pour l’économie circulaire (ACEN) (www.ACEN.Africa) et le fonds d’innovation finlandais Sitra (https://www.Sitra.fi/en/), organiseront conjointement l’événement avec des partenaires internationaux.  

Les pays du Sud devraient subir les effets les plus dévastateurs du changement climatique et de la perte de biodiversité en raison du paradigme économique « extraire, fabriquer, jeter », particulièrement vrai en Afrique.

Dans le même temps, le continent dispose de vastes ressources naturelles et d’une population jeune, dynamique et entreprenante. À ce titre, on considère qu’il est à la fois motivé à jouer un rôle de premier plan dans la mise en œuvre du modèle d’économie circulaire et dans la construction d’une plus grande résilience à travers le monde, et qu’il en a également la capacité.

« L’Afrique, continent en pleine croissance, joue un rôle clé dans la promotion de la circularité. Le FMEC2022 est une plateforme idéale pour présenter des solutions circulaires de pointe afin de soutenir les objectifs climatiques de Paris et les objectifs de développement durable des Nations unies. La Banque africaine de développement, en collaboration avec ses partenaires, le gouvernement finlandais et le Fonds nordique de développement, a récemment lancé la Facilité africaine pour l’économie circulaire afin de soutenir cette transformation dans le cadre de l’Agenda 2063 de l’Afrique », a déclaré Dr Kevin Kariuki, vice-président chargé de l’Électricité, de l’Énergie, du Changement climatique et de la croissance verte à la Banque africaine de développement.

Le président de Sitra, Jyrki Katainen, a déclaré : « Selon une étude récente de Sitra, les mesures d’économie circulaire peuvent mettre un terme à la perte de biodiversité mondiale (https://bit.ly/3ngv5QU) et aider celle-ci à se rétablir. La circularité est cruciale non seulement pour permettre de continuer à exploiter de précieuses matières, mais aussi pour alléger la pression exercée sur l’extraction de ressources naturelles vierges. »

Un site web dédié au Forum mondial de l’économie circulaire sera lancé en juin et le programme rendu public en octobre 2022.

الدورة السادسة والخمسون لمهرجان الحمامات الدولي من 13 جويلية إلى 19 أوت 2022

 حجبه في السنة الفارطة بسبب جائحة كورونا، يعود مهرجان الحمامات الدولي بكل إشراقه ليضيء بأنواره ويعيد الألق لمسرحه الفريد، حريصا على دوره الرائد كمنارة ثقافية فنية على الصعيدين الوطني والدولي.



تنتظم الدورة 56 من المهرجان من 13 جويلية إلى 19 أوت 2022، لتعيد اللقاء مع الجمهور والعروض الحية من مسرح وموسيقى وكوريغرافيا في برنامج ثري ومتنوع يجمع بين أنماط كثيرة ويخاطب الأذواق الفنية المتعددة. ويراوح البرنامج كذلك بين تكريم كبار الفنانين التونسيين والعرب واستضافة نجوم سطعت في سماء الموسيقى التونسية والعالمية وكذلك تقديم اكتشافات تميزت بإبداعاتها الموسيقية المعاصرة.

وتجسيدا لتواصل الأجيال في إطار التعددية الفنية والثقافية التي يختص بها المهرجان، تعكس معلقة هذه الدورة في نفس الوقت معاني الانفتاح والتجديد والوفاء لذاكرة ركح الحمامات الي شهد أرقى العروض وصعود أشهر الفنانين. وتظهر في المعلقة صورة نادرة للفنان موريس بيجار Maurice Béjart خلال تحضيرات عرضه في ثاني دورة للمهرجان سنة 1965. كما تحيل الألوان، أزرقا سماويا و أبيضا نقيا، إلى الأجواء

الصيفية لمدينة الحمامات وما يميزها كقِبلة لكل الجنسيات.


56ème édition du festival international de Hammamet : Du 13 juillet au 19 août 2022

Après un arrêt d’un an, causé par la pandémie du COVID19, le festival International de Hammamet rayonnera à nouveau en 2022 : sa 56ème édition s’annonce prometteuse, s’inscrit dans la continuité de son histoire riche et brillera à l’échelle locale et mondiale. Le théâtre plein air de Hammamet a toujours été un berceau des arts et de la culture, et compte bien le rester.



La 56ème édition se déroulera du 13 juillet au 19 août 2022. Il s’agit d’une occasion annuelle et estivale attendue qui vise à renouer avec le public distingué de la ville de Hammamet. La session présente une panoplie d’arts vivants et fusionne théâtre, musique, chorégraphie et spectacles du monde. Multidisciplinaire et riche culturellement, le programme est inclusif, diversifié et varié, avec une considération importante pour les nouveautés artistiques qui rythment la scène tunisienne.

La session promet d’être riche en hommages qui seront rendus à des artistes tunisiens et arabes, pionniers de la scène. Le FIH, fidèle à sa tradition, mettra en lumière des artistes montants et invitera d’autres, à la notoriété grandissante, reconnus dans le monde.

L’affiche de cette 56ème édition reflète la diversité artistique et culturelle et valorise le travail titanesque entretenu à travers des générations afin de préserver ce festival historique.  L’affiche attractive fait référence aux innombrables sommités qui ont fait l’Histoire de ce lieu depuis plus d’un demi-siècle d’existence. L’affiche rend aussi hommage à Maurice Béjart, à travers une photo rare le montrant en train de préparer son spectacle, durant la 2ème édition du festival de Hammamet, datant de 1965. Le blanc immaculé et le bleu céleste reflètent l’ambiance estivale propre au FIH, et font référence à ses festivaliers issus de diverses nationalités.