Avec Neil Avron (Good Charlotte, Everclear...) aux commandes et un certain… Babyface ( ???), l’album du combo de Wilmette, dans la banlieue de Chicago aux Etats-Unis, devrait faire un carton car taillé pour les radios et télés musicales. Babyface n’est d’ailleurs pas la seule, eeuuhh, bizarrerie puisqu’on retrouve dans la guest list des noms aussi contre nature que [Jay Z ou Kenye West (qui remixe le single “This Ain’t A Scene, It’s An Arms Race”).
Sans verser dans du Linkin Park de base, cette démarche s’explique par la volonté de Fall Out Boy de plaire à un cercle plus large que la horde de teenagers qui ont fait leur renommée. Et pour cela, Patrick Stump justifie le choix de Babyface par: “ Les gens pensent que c’est un mec qui ne fait que du R&B et qui ne connaît rien au rock. Mais ce n’est pas le cas. En plus, il a une vraie intuition pour cela.”
D’un autre coté, notons aussi la présence de Ryan Ross (Panic! At The Disco) et de Chad Gilbert (New Found Glory), c’est aussi ce qui explique que ce "Infinity On High" permet à Fall Out Boy de se débarrasser de l’étiquette pop-punk qui lui collait à la peau.
Mais bon, ne résumons pas cet album aux collaborations, certes prestigieuses, mais rendons leur ce mérite de nous proposer des mélodies accrocheuses tels que « Thnks fr th Mmrs » et surtout un oh combien surprenant « Golden », balade aux arrangements de piano et vocaux atypiques pour un groupe du genre.
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