Yves-Aubin de la Messuzière en 2004 |
Plusieurs questions ont été évoquées au cours de cette interview diffusée à midi 15 le mercredi 23 novembre sur Express FM dans l'émission "Fi Kilmtine".
Il y a tout d'abords le but de cet "auto Wikileaks" par un ambassadeur agacé par les correspondances américaines révélées par Wikileaks, voulant montrer que la diplomatie française n'était pas en reste par rapport à son homologue yankee, avec comme justificatif deux télégrammes diplomatiques que La Messuzière a été autorisé à ublier avant le délai habituel de 30 ans.
La Messuzière "d'autiste" le pouvoir de l'ancien président et surtout ses plus collaborateurs les plus proches, notamment Abdelwahab Abdallah qu'il avait connu en tant que conseiller spécial auprès de Ben Ali, et qu'il qualifie de "source de blocage". Il a indiqué qu'il avait à maintes reprises eu des entretient avec Abdallah pour dénoncer les abus des droit de l'homme et que ce dernier lui promettait toujours d'examiner la question sans que rien ne change.
Il y a aussi la fameuse phrase de Jacques Chirac, alors président de la république française en visite en Tunisie: “Le premier des droits de l’Homme c’est manger, être soigné, recevoir une éducation et avoir un habitat”.
Yves-Aubin de la Messuzière et Fréderic Mitterand en 2004 |
Plus d'informations en écoutant l'interview de Yves-Aubin de la Messuzière
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