Non, c'est pas de Hannibal and co dont je veux parler, mais du Festival de Carthage tout simplement.
Certaines initiatives peuvent être dues à des illuminés qui en leur temps sont marginalisés par leur société, mais qui grâce à leur abnégation et à une volonté farouche de réaliser un rêve fou, parviennent à atteindre leur objectif et à créer un événement qui peut être un jour grandira sans eux.
C'est le cas pour les JCC, pour le Tabarka Jazz festival, pour le Festival de Carthage, et surement pour Rock à Rades ou le Festival Méditerranéen de la Guitare.
Pour ceux qui ont envie de lire quelques lignes sur les ambitions de trois fils de jazz qui ont créé le Festival de Carthage, je vous invite à vous cliquer sur le lien qui vous ménera à Tunizik
Regrettons au passage que, créé pour être un Festival de Jazz, le jazz soit ces dernières années à Carthage aux abonnés absents .
1 commentaire:
Totalement d'accord avec toi Karim concenant l'occultation du Jazz de ce grand festival qui à force de tendances populistes complaisantes est devenu la " rampe" de lancement des ptit(e)s faiseurs de mélodies de Chara3 el hamra de Beyrout.
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